Les regards, les jugements ainsi que les gens nous perturbent à longueur de journée… Avoir un stress constant qui nous ronge de l’intérieur.
C’est la phobie sociale.
Cette maladie, cette faiblesse qui est à la fois invisible, mais ravageuse, qui se cache dans l’ombre, tout au fond de nous.
Il n’y a pas d’âge pour l’avoir, mais en général, cela se produit à l’adolescence. Les principaux facteurs sont généralement causés par un traumatisme, l’hypersensibilité ou le milieu de vie de la personne.
C’est un problème psychologique qui nuit plus qu’on le pense. Beaucoup de gens diront à première vue qu’il s'agit de timidité, mais hélas, cela est plus dangereux à ce que l’on pense.
Ces gens s'empêchent d’avoir une vie sociale, ils évitent d’avoir des interactions avec les autres parce qu’ils ont peur de leurs jugements. Ils ont un pressentiment constant d’être percutés et ils détestent d’être le centre de l’attention.
Ces personnes ont peur qu’on les critique ou qu’on leur parle dans le dos, ça leur cause un sentiment d’insécurité. Mais, le plus compliqué, c’est de savoir contrôler leur angoisse d’être jugées.
Certaines personnes ne savent pas que c'est de l’anxiété sociale, donc elles vivent avec toute leur vie.
Il y a trois symptômes pour savoir si les personnes souffrent de cette maladie, le premier c’est l’inquiétude extrême aux petites choses futiles, le deuxième, c’est l’anxiété extrême: s'inquiéter pour tout et pour rien. Finalement, les douleurs physiques telles que les maux de ventre et les maux de tête, etc.
On peut en guérir même si ce n’est pas très facile. La meilleure chose à faire est de ne pas la laisser nous envahir et de nous contrôler. Il faut en parler, même si c’est compliqué d’exprimer ce que l’on ressent. Ce qui est le plus dur est de la laisser nous envahir au lieu d’en guérir.
Élody