La période d'inscription pour les écoles et organismes est ouverte ! Contactez-nous
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» C’est le temps qui arrange toujours tout, c’est avec le temps que nous allons tous revenir en force. »
» C’est la fin, aa fin de cette vie, le dernier souffle de cet être. C’est le dernier moment de son existence… »
« …Le matin de son décès, j’ai appelé ma mère pour ne pas aller à l’école. Je voulais aller voir mamie avec mon frère. Comme je le pressentais, je suis arrivée et elle est décédée devant moi. J’ai eu un deuil très dur, je suis tombée en grosse dépression et anorexie… »
"…En secondaire 5, on me dit que je dois faire mon inscription au cégep, je panique. Comment, à 17 ans, tu peux savoir ce que tu veux faire pour tout le reste de ta vie?…"
''Le matin, je rentre en classe comme si, la veille, les larmes n'avaient pas coulé, comme si cette nuit, j'avais réussi à fermer l'œil sans me réveiller. Ce je-ne-sais-quoi ne se voit pas, mais c'est pourtant ce qui m'angoisse…''
"…mes plans après le secondaire, c’est d’aller en résidence afin de pouvoir avoir la liberté et plus d’autonomie afin de rentrer dans la vie adulte plus facilement. Ma réalisation, c’est que j’aimerais beaucoup devenir technicienne en éducation spécialisée à notre école…"
"…Est-ce que le mérite est nécessairement relié aux efforts? Si je fais un effort, je le mérite, mais sinon non? Et si j’ai juste envie de vivre ça, si j’ai juste envie de m’offrir ça!!…"
« On ne va pas se mentir, ça peut être chiant. Un peu comme tout. Les problèmes d’amis, les notes, les devoirs.. ça devient ta vie. Bien sûr, pour les adultes, le secondaire est une chose très facile… »
"…J’ai compris que le sens de la vie est un combat constant. Si on ne se bat plus, on tombera. Je suis tombé, ce qui m’a fait mal. Je me suis trop battu pour des personnes qui ne voulaient pas de moi…"
"…Au printemps dernier, j’ai vécu une de ces formes de deuil. Eh oui, l’un de mes personnages fictifs préférés est mort subitement et j’ai pleuré sans fin. Je retenais mon chagrin à l’école pour ne rien laisser paraître mais dès que j’arrivais chez moi, je ne pouvais plus me retenir…"
