Arrivée en première secondaire,
L’estomac noué,
Le stress d’affronter la nouveauté.
Puis,
Qu’est-ce ?
Un rayon de soleil,
Entrant dans la salle A-117,
Le plus grand jamais vu.
Un sourire si grand,
Si chaleureux,
Comment le manquer?
Il nous apprenait sa matière,
D’une si belle manière.
Je me souviens,
Des fameuses dictées,
Moins de cinq fautes,
Est égal à un beignet du Tim Hortons.
Comment résister à nous forcer ?
Si seulement cela pouvait continuer.
Jamais dans son enseignement,
Il ne nous offrait un mauvais regard.
Seulement des regards,
Chaleureux,
Aidants,
Et gratifiants.
Merci.
Les chansons du jour,
Je me rappelle,
Lorsque toute la classe chantait,
Une classe remplie de jeunes femmes,
Chantant des classiques québécois,
Et un prof ému.
Il réussit,
Encore,
Comme toujours,
À transmettre la culture.
L’Amérique qui pleure,
Celle-là m'a marquée,
Plus que n’importe quelle autre chanson,
Voir toutes les filles chanter avec joie.
Le meilleur des souvenirs,
Si seulement…
J’avais si hâte à la cinquième secondaire,
À la fin d’année,
Qu’il puisse marquer une page,
Si bien,
Qu’il a marqué mon apprentissage,
Et a trouvé mon style.
Mais merci,
Merci pour tout!
Tu resteras à jamais dans mon cœur,
Et dans celui
De
Tous
Tes
Élèves.
J'espère que ce n’est pas un adieu,
J'espère que ce n’est qu’un au revoir.
Merci Vincent,
Merci pour tout.
Nelly Dubois