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« Le nom de cet homme, ce prénom qui me torture. Ce nom. Une sale ordure. Il m’a enlevé tellement de choses que je ne pouvais les compter. Premièrement, ma dignité, mon amour propre, ma joie, ma confiance, mon sourire, ma vie et mon envie de vivre… »
''Homme ou ours? Voilà une question qui a traversé l’esprit de bien des femmes à un moment ou à un autre de leur vie. Pour ma part, cette réflexion m’a habitée très jeune, avant même mes 10 ans, et mon cœur a choisi l’ours…''
« Un père absent, mais un peu trop présent, tu étais présent mais tu ne me voyais pas. Je cherchais ton amour à travers ce que tu m’avais appris: ta colère, ta violence et tes cris… »
… « Il n'y a pas si longtemps, je croyais encore que c'était normal que mon paternel se permettait de me rabaisser et de m'insulter jusqu'à temps qu'il voit que je pleure. » …
« Ce moment où on se perd, où nos yeux ne voient que ce corps qui ne nous appartient plus depuis beaucoup trop longtemps et où on nous a enlevé le droit de donner notre consentement »
" C’est seulement cet été que j’ai été capable d’accepter ce qu’il m’a fait. "
« En ce 27 mars, le bilan des morts s’élève jusqu’à environ 32 490 victimes. 70% d’entre elles sont des femmes et des enfants. Ces derniers souffrent grandement de la déportation et des déplacements constants, de leur dignité et leurs droits constamment enfreints… »
"Certains vont dire : « Je connais ça, moi, la violence », mais en fait, il n’en connaisse rien, d’autres pensent que c’est comme-ci ou comme-ça, mais ils se trompent complètement…"
"…Cette sensation, ce dégoût qu'on a envers nous-même par après. Se sentir sale. Se sentir comme si notre corps n’était plus le nôtre. Des enfances volées, des adolescences perdues, des vies ruinées. C’est ce qu’implique d’être une femme depuis toujours…"
"…Mes parents n'avaient pas beaucoup d’argent, donc c'était plus dur pour eux de s’occuper de nous…"