Cette journée-là, j’avais besoin de réconfort et de soutien, mais cela a fini en larmes. Je m’en rappelle comme si c’était hier. C’est comme se faire poignarder par ses bien-aimés. J’ai essayé de me rappeler ce que j’ai pu dire ou faire pour avoir reçu ces mots blessants.
Mériter aucun mot pendant plusieurs jours, aucune personne pour m’aider dans cette période difficile que j’ai dû traverser seule sans soutien autre que ma famille. Cela a fait mal, c’est pas qu’un “désolé” qui va réparer tout ce qui est brisé.
Depuis, chaque fois que je parle, c’est ce moment qui me fait réfléchir, si chaque mot que je dis est une bonne idée ou une torture qui va se répéter.
Anabelle