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École secondaire Curé-Mercure

Le changement
Émotions , Persévérance

Le changement

Présentement, je vis dans une période de changements, tout va être différent pour moi puisque, non seulement, je finis mon secondaire, mais je change de pays. J’ai eu peur, mais lorsque j’y ai repensé, j’ai pu réaliser que cela fait partie de la vie.

 

Nous voulons toujours rester jeunes, où nous n’avons aucune responsabilité, où nous vivons dans notre propre fantaisie qu’on crée avec notre imagination. Lorsqu’on parle de l’enfance, on voit des petites filles ayant des soirées pyjamas entre elles ou des petits garçons jouant au hockey sans arrêt. C’est, dans ces moments où on est cajolés par nos parents et nos autres membres de familles, qu’on semble être tellement adorables à leurs yeux, jusqu’à temps où il vient le moment de grandir. Nos responsabilités s’empilent et il faut commencer à être plus autonome. C’est effrayant, car on est dans le vide total. On risque de faire de grands succès ou  de faire des milliers d’échecs. Le futur plonge dans l’anonymat, c’est impossible de le prédire. On est obligé de sortir de la jupe à maman pour qu’on s’empare du monde avec les deux mains. Il faut dire au revoir à notre vie d’enfant et qu’on dise bienvenue à notre vie d’adulte. Triste, oui, mais c’est la vie. En tant qu’êtres humains sur Terre, on est conçus pour évoluer en êtres meilleurs. Il faut oser faire le premier pas dans cette nouvelle vie qui va nous transformer. 

 

Définitivement, je suis déçue de dire au revoir à mon enfance, mes amis, mon entourage, tout ce qui faisait la fille que j’étais. Toutefois, même si mes environnements vont changer, je vais toujours garder cette jeune timide qui raffole de toutes choses « style vintage» et d’art dans mon coeur, car c’est elle qui m’a poussée jusqu’ici.

 

-Victoria 

Victoria Cooney

Bonjour, je m’appelle Victoria Cooney, je suis une jeune fille de 16 ans, en 5e secondaire, à l’école Curé-Mercure. Cela fait presque 6 ans que je vis ici, avant je vivais à Montréal avec ma mère. Lorsque je me décris, je ne peux pas dire que je suis une fille comme les autres à mon école. Je viens d’un milieu différent, alors je ne suis pas exactement une fille populaire aux yeux de la société. J’aimerais faire partie de La DeMOIs’aile, car je voudrais partager les différentes étapes de ma vie, mes passions d’art et de mode, mes insécurités qui causent mon anxiété, et bien plus. Je voudrais pouvoir dire aux autres filles bien timides qui sont peut-être décrites comme ‘’weird’’ par la société d’aujourd’hui, qu’elles ne sont pas seules, qu’elles peuvent se foutre de ce que les autres leur disent, car l’important, c’est de s’aimer soi-même.


 

Victoria Cooney - École secondaire Curé-Mercure