‘‘Elle possède un monde bien beau, mais le noyau lui est de trop. Les gens ne valent pas de prix, ils la comblent tous à l`infini, mais elle, elle fuit la vie.’’
¯Olem
Fin d’automne, son cœur pèse des tonnes. Pendant que les feuilles tombent, elle creuse lentement sa propre tombe.
Doucement l’hiver arrive, alors que depuis longtemps elle dérive. Dans son livre, on ne peut pas vivre harmonieusement ivre.
Sous son masque d’argile, elle s’est créé une joyeuse fille au sourire qui brille pour cacher sa détresse bien fragile qui ne tient qu’à un fil.
Elle joue la sauveuse lors des journées pluvieuses. Voir des femmes heureuses, ça la rend rêveuse, mais peut-être un peu trop envieuse.
Naïvement forte, à l’intérieur elle se sent morte. Il y a un moment déjà qu’elle a fermé la porte.
Pourquoi, c’est dans la déprime qu’elle trouve des rimes? Pourquoi être bien est rarement le refrain? Les mêmes questions en vain, mais comme réponses il n’y a rien.
Les blessures, elle les endure d’une douleur pure. La souffrance en permanence, c’est une lourde sentence.
La rechute mentale.
Olem