"...Connaissez-vous quelqu'un qui est toujours souriant, qui aime faire rire les autres et qui a l'air toujours radieux? Eh bien sachez que, bien souvent, cette personne souffre. Moi j'en connais une. Une personne qui porte deux masques chaque jour. Et cette personne, c'est moi. Je ne suis pas forcément malheureuse, ni triste, ni en colère. Je ne me sens simplement pas à ma place..."
"...au moment où je m’en attendais le moins, il est arrivé dans ma vie. Il m’a prise à mon plus bas et sans le savoir, il m’a fait retomber amoureuse de la vie, puis après, de lui. Je crois que sans lui, je ne serais même pas ici en ce moment. Il a lu en moi, toutes mes petites imperfections et tout ce qui fait de moi, moi. Il m'a recollée, plus solide, en mieux et en mettant un peu de lui dans tout ça..."
"...Papa, je sais que tu as l’impression qu’on te glisse entre les doigts ces temps-ci, que le temps t'échappe surtout parce que tu aurais aimé toi-même passer plus de temps avec ton père... mais sache que toutes les activités qu’on fait et les nombreux voyages uniques que nous avons eus la chance de faire ensemble sont des moments très importants..."
"...le fait d’avoir des amis influence qui nous sommes. Ça peut être autant de manière positive que négative. Comme il s’agit de personnes à qui nous parlons de tout, elles ont tendance à être en meilleure position pour nous conseiller et nous guider..."
"...JE SUIS UNE FAN D’ANIMÉS ET DE MANGAS! Oui oui, vous avez bien lu...Les gens vont me traiter de garçon manqué, car la «majorité» des gens qui aiment les animés sont des hommes..."
"...J’ai passé le meilleur hiver de ma vie! À sortir de trois à quatre fois par semaine pour aller jouer au hockey. Soit toute seule quand l’on ne pouvait voir personne ou avec mes amies lorsqu’on pouvait se rassembler..."
"...à toutes les filles qui veulent s’y inscrire dans les prochaines années, faites-le! J’ai eu tellement de plaisir, c’était incroyable! C’était un petit moment paisible dans le chaos qu’est la COVID-19..."
"...Je me trouvais laide nue, mais la plupart du temps, j’étais habillée et ça m'allait. J’aimais la femme que j’étais et que je devenais. J’étais capable de me regarder dans le miroir, habillée, et de me trouver importante, courageuse, fonceuse. Je me trouvais belle..."
"...le plus drôle, c’est que les personnes qui font le plus mal, ce sont les plus “fake”, ceux qui vont venir parler de toi alors qu’au fond, ils ont simplement entendu le résumé de ton histoire. Puis, quand ils réalisent que tu as mieux réussi qu’eux, et bien ils s’attaquent à ton physique..."
"...je me dis que je n’arriverai jamais à finir mes livres à temps, donc je stresse, je me mets de la pression et je réessaye de travailler. Ça fait une boucle sans fin, une boucle infernale. Plus le temps passe et moins j’ai de temps pour finir d’écrire, ce qui me stresse plus et le stress m'empêche d’écrire..."
«...Le temps passe si vite. J’ai l’impression que mon enfance m’échappe. Je n'oublierai jamais tout ce que j’ai vécu. La vie m’a fait passer par des chemins sensibles, mais grâce à ceux-ci, j’ai pu déplacer des montagnes. Je n'oublierai jamais qui je suis. Je vivrai à présent sans cacher mes imperfections..."
«... Les troubles de l'apprentissage, voilà des petites bêtes féroces. Ils sont insatiables. Rien ne les arrête. Ils me grugent petit à petit. C'est sûr qu'au fond, je devrais garder la foi et avoir confiance en moi, sauf que j'ai la peur d'être un échec et de décevoir..."
"...J’ai envie de me lever chaque matin avec une panoplie de raisons de sourire, car plus je grandis, plus je me rends compte que j'aime bien varier mes journées. J’ai envie de développer plusieurs passions, plusieurs compétences..."
«... Grâce à vous, j’ai compris que je pouvais avoir confiance en moi. Peu importe l’événement, je vais réussir à m’en sortir. J’ai aussi appris que demander de l’aide ne fait pas de moi une personne moins forte. Au contraire, demander de l’aide quand nous en avons besoin est important..."
«...BAM! Ça continue dans ma tête, ça joue en boucle. Une pression de plus, un stress de plus, un mal à supporter en plus. Comme si on ne le savait pas déjà. Nous, adolescentes, jeunes femmes en devenir, demandons sans pression...»